Sabordage
Collectif Mensuel | Liège (Belgique)
C'est l'histoire d'une petite île qui coule à pic, un paradis terrestre perdu au milieu de l'océan, qui, en quelques décennies, connaîtra un véritable miracle économique et terminera en désastre écologique.
À travers la véritable histoire d'un îlot d'Océanie, Sabordage met en lumière les mécanismes humains qui poussent les sociétés à se laisser aveugler par les mirages de la croissance et de la (sur)consommation, jusqu'à l'autodestruction.
Trois comédien·ne·s et deux musiciens remixent en version Rock l'apocalypse annoncée de tous côtés et la grande panique générale qui l'accompagne…
Une fois de plus (on se souvient de Blockbuster, accueilli à Vénissieux), en mélangeant musique live, séquences télé braconnées, théâtre, claquettes, vidéos montées en direct, bruitages et faux dialogues, la Cie convoque les enjeux qui embrasent notre société et, littéralement, notre planète.
La fin du monde ressemble à un feu d'artifice joyeux et délirant. Pourquoi pas ?
Distribution
Écriture : Nicolas Ancion et Collectif Mensuel
Conception et mise en scène : Collectif Mensuel
Avec : Sandrine Bergot, Quentin Halloy, Baptiste Isaia, Philippe Lecrenier, Renaud Riga
Scénographie et costumes : Claudine Maus
Direction technique et Création éclairage : Manu Deck
Régie video : en cours
Régie son : Johann Spitz
Montage et vidéo : Juliette Achard
Accompagnement vidéo : Camera-etc et Ian Menoyot
Production
Coproduction : Théâtre de Liège, Théâtre de Namur, Théâtre de l’Ancre, MARS Mons Arts de la Scène, Atelier Théâtre Jean Vilar et DC&J
Création avec le soutien du tax-shelter du gouvernement fédéral de Belgique et de Inver Tax Shelter
En partenariat avec : Théâtre 71 - Scène nationale de Malakoff, Bonlieu - Scène nationale d’Annecy et le Kinneksbond - Centre Culturel de Mamer.
Avec le soutien des Scènes nationales de Châlons-en-Champagne, Valence et du Centre culturel de Verviers ainsi que de la Fédération Wallonie-Bruxelles (service du théâtre). En partenariat avec Arsenic 2.
Crédit photos / Vidéo
Brandon Kawamura et Dominic Houcmant Goldo